J'aurais voulu t'apprendre, autrement qu'en oreiller,
Autrement qu'en cette chambre, ou tu n'as fais que passer,
J'aurais voulu écrire, le plus beau des poèmes,
Savoir dire "Je t'aime", mais tu n'es pas restée,
J'aurais voulu encore, te connaitre un peu plus,
Et t'aimer sans remord, et t'aimer même pas nue.
J'aurais voulu, mais je crois,
Que tu ne voulais pas rester,
Tu étais là juste un soir,
Alors que j'aurais aimé,
Mais ce n'est rien, nous sommes quittes,
Toi et tes yeux furibonds,
Moi et mon amour transgénique,
De la lumière aimant l'ombre.
Alors j'aurais tant voulu,
Mais c'est trop tard je ne peux pas,
Et j'écrirais la virgule,
Qui te fit passer chez moi.
Ce n'est rien nous sommes quittes,
Tu es restée le temps qu'il faut,
Car l'amour quand il va vite,
Est fait d'un jour qui reste beau.
Écrit par Noctendiurne
Et si je peux oublier, verbe, et si je peux, et sans paroles,
Te dire des choses, même les mêmes, Sans de l'emblême, être l'aumone. Gregor Perret http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 23/07/2009
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sublime poème j'adoooooooooore!!!!! | |
liconex |
Triste mais tu as raison les choses courtes sont parfois que de beaux souvenirs ! On a pas eu le temps de se faire du mal ou de se décevoir ! amitiés Louann |
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louann |
J'adore ta dernière strophe !!! (et l'ensemble aussi d'ailleurs ;)) | |
Nighty |