La vie passe,
Chaque soir la lune me parle,
Suis-je le seul fou qui crie au loup quand la nuit tombe,
Dans une escapade où défilent les façades qui ne changent pas,
Combattre perpétuellement contre soi-même,
Car chaque soir la nuit tombe, enfouis nos rêves et sourires
Voulu apprendre la beauté de l'écriture avant le langage du coeur,
Comme si j'étais, nous étions les seuls à ne plus nous comprendre,
Entremêlés de fierté, d'honneur illusoire artifice factice de la vie,
Mais dans vos yeux au fond de vos pupilles je vois la même lueur.
Écrit par NoName
en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes freres me laissent toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne valait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulait
Catégorie : Amitié
Publié le 28/02/2014
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Commentaires
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Posté le 01/03/2014 à 10:12:59
Une belle façon de provoquer le lecteur sur la fin du poème, dans les difficultés des nuits et des combats livrés contre soi-même. Un propose universel exprimé avec goût et juste ce qu'il faut de sensibilité préservée. | |
Marouette |
Posté le 01/03/2014 à 13:19:13
Merci, bientôt je compte m'investir plus sur l'orthographe, je me rends compte que au final cela me restreint pas mal. | |
NoName |
Posté le 03/03/2014 à 22:30:19
J'adore ! Un brin de mélancolie comme j'adore. Amitiés |
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coehlo |
Posté le 03/03/2014 à 23:19:09
Merci de ton avis. | |
NoName |