Dans le deuil, les larmes amères on laisser de leurs douleurs,
Un doux câlin amical, ainsi qu'un regard protecteur
Même si tout va mal, la roue tourne à plein régime.
L'espérance le seul salut d'une vie, un grand fils légitime
Fait toujours la joie de son père, sagement dorloté.
Le corbeau ahuri témoigne sa belle grande naïveté,
Une jeune âme connaissant rien du mal de ce monde indigne.
Tout semble sans espoir lorsqu'une mère chaste se résigne.
Les nuages connaissent la paix, car ils en sont les messagers
Le ciel azure envoyant ses anges, arrache les âmes aux dangers
L'espérance doit être la vie des champs, sans elle tout devient mort.
Le sourire gracieuse d'une épouse, efface tout sauf les remords.
Je t'aime mot qui autrefois guérissait les plaies.
J'écris les jours de bonté, n'osant point ouvrir mon palais.
Jeune princesse de sagesse, tes actions sont une bénédiction
Tous les yeux ne cesse te contempler, dans une profonde admiration.
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Écrit par Nelreck
Chaque homme dans sa nuit s’en va vers sa lumière.
Catégorie : Divers
Publié le 28/04/2017
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Un poème un peu terni par quelques petites fautes de syntaxe, qui empêchent de tout comprendre à son déroulement. Mais une tentative lyrique d'outrepasser le vers alexandrin qui est très louable. |
jacou  |
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Oui je n'ai pas été tout à fait moi-même, mon intention était de faire le plus de rimes que possible. Mais merci quand même. |
| Nelreck |
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Comme dit JACOU, le mérite d'être écrit (ã revoir les fautes d'orthographe), en tout cas prometteur. |
| CRO-MAGNON |
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Je supporte aisément les fautes d'orthographe quand un texte a du cœur... Et celui-ci en a pleinement ! Bravo. |
| Galerion |
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Merci beaucoup à vous, je tâcherai de faire mieux la prochaine fois |
| Nelreck |