De jour comme de nuit j'ai parcouru la ville
J'ai marché sans un bruit ombre parmi les ombres
Sur les pavés salis par l'homme et ses décombres
Et j'ai vu sans tes yeux comme les rues sont viles
...
Écrit par Naliwe Lewan
"Ces fantômes de chants l'aurore les nettoie
Et la main du soleil revenu les disperse Quand le grand jour m'en a lavé de son averse Ce que j'en puis savoir c'est qu'ils parlaient de toi" Catégorie : Triste
Publié le 05/06/2014
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Commentaires
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Posté le 06/06/2014 à 21:10:27
sincèrement? J'adore ! | |
passeur de mots |
Posté le 07/06/2014 à 14:10:35
4 lignes mais percutantes de bout en bout, et l'intensité du ton va en crescendo. superbe. | |
brume |