Naissant de la fenêtre de ta chambre
Un rayon de soleil découpe la pénombre
Comme une caresse aux couleurs de l'ambre
Se dépose sur ton corps nu, sans encombre
Le blanc de ta peau qui s'illumine
Me laisse béat d'admiration
Chaque courbe de ton corps me fascine
Je savoure cette silencieuse contemplation
Je ne me permets pas encore de toucher
Mon petit bonheur, pour ne pas t'éveiller
Je ne voudrais surtout pas gâcher
Cet instant de pur et grande gaieté
Ainsi donc, le bonheur existe
Il arrive comme ça, sans présentation
Et bientôt je serais le violoniste
Qui jouera sur les courbes de ton violon
J'userai de mon archet, "allegro ma non troppo"
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Commentaires
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Posté le 22/10/2019 à 18:46:32
Quand l'amour s'en mêle, il vous pousse des ailes... Merci de partager ce bonheur sensuel et ravissant ! | |
grêle |
Posté le 22/10/2019 à 19:28:35
Comme la fin du poème promet le bonheur d'amour, je ne saurais gâcher la fête, et me retire sur la pointe des pieds...que ce beau poème compte en joie ! Félicitations Musouka, ou plutôt : félicité! | |
jacou |
Posté le 23/10/2019 à 09:28:54
L'aube levée sur un corps amoureux... "Vilaine aube, clarté méchante, toi déjà ! Dans quelle prairie souterraine, dans quel antre toujours nocturne pourrons-nous si longtemps nous aimer que nous perdions ton souvenir ?" Ici, la lumière est plutôt source d'admiration et d'une belle inspiration. |
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scyles |
Posté le 23/10/2019 à 17:16:23
Si ce poème vous a fait sourire, j'en suis heureux. Merci! | |
Musouka |