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Lorsque le jour enfin se leva lentement,
Ne restaient que nous deux, ultimes survivants,
Perdus de désespoir, pleurant tels des enfants,
Essayant de savoir le pourquoi du comment.
Je te priai de fuir, tu souris tendrement.
Je te tournai le dos, tu brisas mon élan.
Tu ne voulais partir et laisser un instant
Mon âme déchirée aux affres des tourments.
Voudrais-tu m'attacher, seulement me cloîtrer ?
Il te fallait agir, au moins nous protéger,
Te garder de mes coups et me garder de moi.
L'as-tu fait ? Je ne sais mais qu'importe cela.
Ce n'était là qu'un rêve offrant bien peu de choix.
Qu'importaient nos raisons, notre voie était là.
Écrit par Morch
La vie est une traîtrise, l'amour est son poison
Catégorie : Amour
Publié le 15/08/2007
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