Moi qui est et qui sera toujours si imparfait
Tel un grand et beau Févier épineux
J'ai égratigné par maladresse, ta gentillesse
D'une insouciance verbale
Il y a milles excuses possibles
Aussi valables les unes que les autres
Mais aucune d'elles n'effacera le souvenir
De pour un instant ne pas t'avoir fait sourire
Les uns diront de faire amende
Les autres que c'est des choses qui arrivent
Et même toi tu diras que ce n'était rien
Que peut-être tu avais mal compris
Mais voilà que l'insouvenir de cette pointe
Trouble le lac de ma conscience
Sans doute tu me pardonneras cet égard
Car la bonté de ton être est presque divine
Dans la route qui s'ouvre devant nous
Ce ne sera pas ma seul inconduite
Et pas non plus ton seul pardon
Mais même si mes plus sincères excuses
Allègent la tristesse de cet insouciance verbale
Saches que j'essaierai sans cesse de faire mieux
Car je t'aime.
Écrit par Mondes & Merveilles
Tell me my friend, qui est le chef ici? Et qu'il se lève! Et le soleil se leva… Les yankees, Richard desjardins.
Catégorie : Amour
Publié le 13/11/2021
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