Un bordel
Une petite pensée, insignifiante
En une seconde, me démonte.
La violence de cette pensée,
Me détruira à jamais.
Une cicatrice qui a un goût,
Celle de mes erreurs.
Elle a un autre goût,
Celle de ma terreur.
La peur qu'elle ne se referme pas,
La douleur d'y penser, de se dire
Qu'elle ne reviendra pas
Que je dois en souffrir.
Une petite pensée qui vient aujourd'hui
Me met dans un état appauvri.
Je ne vis que pour lui reparler,
C'est grave en effet.
Depuis le temps qu'elle n'est plus là,
Qu'elle vit, sa vie sans moi.
C'était plus qu'une amie, une confidente,
Une bibliothèque de musiques.
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Commentaires
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Posté le 15/12/2013 à 20:16:09
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Contente de te lire à nouveau Michka, laissons à tes mots toute la place, j'ai lu là un écrit très touchant, les mots du coeur ici parle sans ambage, ni floriture, cela m'émeut. |
Octavie  |
Posté le 24/02/2014 à 04:50:03
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Ah ces petites pensées qui font mal, qui reviennent, sans bruit juste pour nous dire 'je suis encore ici' Tu sais quoi mon pirate, tes cicatrices font de toi l'homme que tu es, un jour tu pourras nonchalamment les frôler des doigts, par une caresse reconnaître la douleur mais surtout ton parcours et tes victoires. |
morr.skyblog  |
Posté le 08/01/2016 à 21:24:17
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merci Michka oui tu as raison c'etait une superbe amiepoete une bibliotheque a musique ...oui c'est vrai elle l'etait et trouvait toujours une musique pour chaques instants...tres joli poeme michka |
lang2velour  |