J'ai posé mon regard sur des milliers des pages,
Et je n'ai retenu que quelques phrases.
J'ai posé mon intelligence devant tant de connaissances,
Et je n'ai retenu que quelques fragments de vérité.
Certains étaient plus opaques que d'autres,
Et d'autres, plus sombres, encore.
Certaines des vérités étaient,
À mes yeux d'ignorant,
Au fond d'un puits où l'eau ne m'y était pas abondante.
Et la connaissance gisait quand les sources le voulaient.
Je n'étais point maitre des éclairs
Qui frappèrent mon entendement.
Loin de moi,
Mon entendement obéissait à une Loi
Que mon intelligence ne put connaitre.
Et j'étais, dans mon être
Soumis à Sa Volonté Dominante.
Dussé-je tenir en ma possession toute la terre entière,
Rien de cela ne pourrait m'acheter une plus claire vision ;
Et toujours mon entendement serait soumis à la Loi
Qu'Il posa sur moi.
Écrit par Merci
Je suis comme une feuille tombante. Le vent souffle en ma faveur, me menant là où je dois être.
Catégorie : Spiritualité
Publié le 26/11/2018
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C'est tout l'effort à faire, de soi, que d'aller puiser à la source de la sagesse immémoriale, afin de fortifier notre entendement. C'est une leçon de l'ésotérisme. J'ai aimé ce poème. | |
jacou |