La brume sur l'esprit comme un jour blanc d'automne
efface les contours, rend la joie monotone
vide les sensations étouffées de brouillard
dans la torpeur ouatée d'une vie sans cafard.
Les mots, comme figés sous un manteau de neige
perdent de leur lumière, de leur magie de cierge
flamme vidée de feu, étouffée de coton
qui retourne à sa nuit marchant à croupeton.
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Écrit par Marouette
On ne sait pas souvent ce que l'on sème,
on ne sait pas souvent combien l'on aime, rien ne nous prépare à marcher dans le sens de la terre. Catégorie : Divers
Publié le 21/11/2012
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Commentaires
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Posté le 21/11/2012 à 16:22:11
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Bel écrit, bravo pour les alexandrins qui donnent un rythme formidable, maintenant il faut s'efforcer de trouver de meilleures rimes, j'ai trouvé celles-ci un peu enfantines parfois. Par contre l'avant-dernier vers a perturbé ma lecture du fait qu'il est en 13 syllabes, je te propose donc de le changer pour que ce soit quasi parfait. |
Naliwe Lewan  |
Posté le 21/11/2012 à 19:28:32
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Avant de critiquer, il serait bon de savoir compter jusqu'à treize, ce qui ne semble pas le cas de Naliwe... |
| sllyboulo |
Posté le 21/11/2012 à 21:33:05
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perdent (2) de (1) leur (1) lumière (3), de (1) leur(1) magie (2) de (1) cierge (1)... Perso, je compte treize. Si ce n'est pas ton cas vieille branche, c'est toi qui as un problème. Et mon commentaire n'est pas une critique, j'essaie d'aider moi, je ne suis pas un vieux rabougri qui se cache derrière des règles imaginaires. Cependant merci d'être passé et d'avoir laissé un commentaire si instructif. |
| Naliwe Lewan |
Posté le 22/11/2012 à 01:23:58
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Bonjour Marouette, Deux quatrains sur un écrin d'hermine ! Amitié de ANTEROS. |
ANTEROS  |