De délits en délires je plonge avec délices dans des lits de passage, désirs d'enfant pas sage, je délivre aucun message si ce n'est "à l'abordage", des lyres chantent au lointain de bien curieux présages, des lys dans un vase, je délie son corsage, déchire enfin l'image, de femme enfantillages, de Déhli à Carthage, de loin on m'encourage, déliquescents hommages, je me perds en outrages, des limites, dérapages, j'ai souillé son visage; des lires sur la table, je paye pour le massage, je m'exite sans courage mettant fin au carnage, mon délirium tremens reprend son pèlerinage, des litres sont avalés, d'un seul coup sans ambage délite ma vie au gré de mes ratages, là-haut on délibère, faut m'attendre à l'orage, sur des livres sacrés ma sentence s'envisage, des lies et des calices, j'en boirai davantage, des lits Quid de moi ? J'émerge dans le cirage, mais rien, dieu s'est lassé, il faut tourner la page.
Écrit par Marc Renton
On t avait dit que tout se paye, regarde bien droit dans le soleil....
Catégorie : Divers
Publié le 07/10/2010
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Tiens ! tu as changé d'image ? Ce delirium sans queue ni tête s'explique car tremens. Je te souhaite qu'il soit juste très mince ! Rire n'est pas un délit ; ris, homme ! J'ai aimé tous ces jeux de mots et de sonorités. Un exercice que j'adore ! |
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Nighty |