Une grande tour blanche devant moi...
Voix tourmentées, auparavant jamais entendues...
Je suis piégé au-delà de ce ciel noir,
Et la lumière crue me brûle les yeux.
Toutes les couleurs sont comme des épées,
Qui se révèlent à la lumière du soleil.
Mais la faiblesse de cette dernière,
Semble tout condamner à l'échec.
Je regarde par la fenêtre,
Sans bouger, comme si j'avais toujours été là.
J'observe l'horizon de mes rêves...
J'aperçois un corbeau noir volant.
Quelque part quelqu'un meurt
Mais les lunes de ces nuits ont réveillé mes forces.
Maintenant je sens l'équilibre exaucé par ce clair de lune ...
Mon rire moqueur retentit dans le cercle du temps,
Et je reviens comme le vent, dans mon domaine bien-aimée
Je laisse ton ciel ... à jamais ...
Mon manteau noir flotte derrière moi comme des ailes,
Et les cris des âmes m'encouragent,
A voler dans ce ciel de feu glacé…
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bonsoir Méfi, un très bel écrit, que j'ai lu et relu. "Au coeur de la lumière" je me sens un peu dans les ténèbres à très bientôt |
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marie-ange-old |
Merci à toi | |
Méfi |