Une larme profonde et désarmante
A anéanti durement ma folle espérance
Pour pérennité tu m'as offert ton absence
Le son de ta voix toujours encore me hante
Un vent froid a fait tournoyer nos cœurs
Les éparpillant comme brisures de chance
Déchirant nos rêves en mille souffrances
Un miroir pour désigner notre malheur
Le feu dans la cheminée s'est éteint
Les braises entre roux et noir sans fin
Vacillent le silence qui ne fait que s'étendre
Le stylo des duos a eu une crampe
Reste deux mains inscrites sur une estampe
Reliées dans l'espoir de septembre
Écrit par Lucyline
Carpe diem... Pour que les roses poussent, MALGRE TOUT, à travers les épines...
Catégorie : Triste
Publié le 11/08/2022
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Commentaires
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Posté le 11/08/2022 à 18:18:02
Bonsoir Lucyline , Beau ! Profond ! Lecture que l'on aimerait prolonger .. Et des Vers toujours aussi prenants et magnifiques !! LyS .. |
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Lys-Clea |
Posté le 13/08/2022 à 09:15:23
Septembre tes pleurs séchera, une alarme dans l'onde et l'espoir se cache. L'éternité loin l'un de l'autre se vit chaque seconde mortelle, et s'il faut attendre fantôme vêtu d'une moitié de drap statuaire sculptant les contours de l'autre sans son âme, c'est mourir sans cesse imprégné du baume de la Mort. Vent que Nature entonne dit la crainte et disperse encore un peu l'espoir ténu des retrouvailles, mais qui a l'immortalité d'amour gravé dans un tronc d'arbre à embrasser puis à embraser comme flamme consumant sa passion attendra que l'ambre d'un soir concerte avec la nuit, la soirée sépia qui sépara la parera apparition bel hautbois dormi dans l'idée musicale de s'y accorder. Il y a le dessin sans fin des deux mains qui se dessinent, deux âmes amies qui se destinent des dieux reçoivent signes afin que synchrones aux bons moments elles aient lieux pour voir le miroir absent reflétant leurs visages assagis de s'être tant aperçus, tendus, voulus, déçus, revus. De toute éternité je brûle de savoir ce que j'ai su, puis encore un instant à venir en septembre donnera le la d'angélique constance. Favori. |
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jacou |