Les mots crient quand s'amoncèle l'absence
Et ne savent effacer les dissonances
Quand l'amour voudrait avaler le silence
Les maladresses s'invitent dans la sentence
Les pleurs lavent l'esprit qui soupire
De ne pouvoir unir de réciproques désirs
Pourtant tu es la foi de mon empire
Où le lien du cœur bat comme il respire
Musiques qui soulèvent les voix du mystère
Où les correspondances sont familières
Des chemins joints en évidence titulaire
Donne la force de lendemains qui espèrent
Les palpitations qui me donnent le sourire
Prennent source dans d'inaltérables souvenirs
Dans l'espoir des jours à découvrir
Toi et moi dans la justesse des soupirs
Le ciel nous offre ses confidences
La folie et l'intensité de l'adolescence
Révélation du mystère d'où nait notre essence
L'amour est plus fort que la distance
Écrit par Lucyline
Carpe diem... Pour que les roses poussent, MALGRE TOUT, à travers les épines...
Catégorie : Triste
Publié le 28/07/2022
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Belle inspiration, l'amour vainqueur des distances, physiques ou différences. | |
Comete |
Quel joli titre Lucyline quel beau poème merci :) |
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MARIE L. |
L'absence des amoureux fait leurs maladresses tant ils se manquent et veulent se le crier devant tous, les romantiques avaient ces emportements de l'âme au delà d'eux mêmes vers la sœur âme, tels les fictifs Katherine et Heathcliff des "Hauts de Hurle-vent" ou Fanny Brawne et John Keats jeune mourant à Rome en poète... Deux amoureux ont le ciel en partage comme dans le mythe grec des âmes sœurs éternelles, les confidences en synchronicité comme chez le psychanalyste spiritualiste universel Carl Gustav Jung, la jeunesse renouée quand ils furent et seront et sont vêtus d'esprits qui par bribes ressentent où ils furent, pressentent où ils pourraient être, sentent à présent ce qu'ils vont devenir en une âme seule efficiente pour parler aux anges de lumière... Leurs cœurs qui battent touchent aux battants des portes...de l'éternité au "jardin des béatitudes" que tu inscrivis, ô chère poétesse, dans un de tes merveilleux poèmes que je vis en te lisant, ô chère poétesse Lucyline, "dans la justesse des soupirs de la sainte, la fée" (toi et Gérard de Nerval) BRAVO, mon favori ce dimanche est ici ! :) MERCI Célyne ! :) |
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jacou |
Très beau poème , merci ! | |
Quai 21 |
Bonsoir Lucyline ! BRAVO !!!!!!!!!!!!!!!! Magnifique !! LyS .. |
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Lys-Clea |