Bobine du temps qui passe,
Dans le quart d'heure de lumière
Scintille le soleil de mars,
Sur les surfaces des villes.
Miséricorde au chant des routes,
Où l'on ne s'entend plus rêver,
La mécanique fédère
Notre nouvelle nature.
Car le tableau, jamais ne paraisse,
Coincé dans le pli d'une œillère,
Ils ne se font plus peintres d'art
Mais simples pêcheurs d'oseille.
Alors, qu'importent vos doutes,
Veilleurs des instants réfugiés,
Inspirez plus d'une foi votre ère
Pour leur souffler des dorures.
Parce que le temps, jamais ne s'arrête,
Et la laideur de leur monde
Finira par s'éteindre au feu
De vos actes foisonnant la beauté.
Écrit par Luca
"Il y a celui qui sent avant de manger, et celui qui mange."
Catégorie : Evasion
Publié le 04/03/2021
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Commentaires
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Posté le 04/03/2021 à 18:23:06
Un message qui peut porter des Nations à se libérer de l'esclavage dans la dernière strophe. Le souffle du poème est puissant, merci Luca, favori | |
Asté |
Posté le 11/03/2021 à 10:02:21
Bonjour Asteroidea, Merci pour votre intérêt et pour votre message, je suis ravi que mon texte vous ait plu, Luca |
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Luca |