Avant la mort du ciel en la nuit tombée
Nous allons où nous guident nos pieds
Le corps enveloppé de vent et de lumière
Parcourant les paysages d'aucun ordinaire
Parmi les mélèzes fauves
Doux écrin orange et or
Que le soleil colore
D'autres troncs complètement chauves
Je voudrais par mes poumons
Inspirer tous ces espaces les figer
Pour que résident en moi à jamais
Ces bribes de montagne comme un sermon
Soyez-en sûrs, je reviendrai.
Écrit par Liberty
"Je est un autre, on ne peut pas dire je pense, mais on me pense."
Arthur Rimbaud Catégorie : Nature
Publié le 18/11/2024
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Commentaires
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Posté le 18/11/2024 à 21:13:50
Bel hommage. Le vers qui clôt le texte résonne comme un écho dans les monts. J'ai aimé cette lecture. Au plaisir d'en lire d'autres. |
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