L'ocre de noir se vêt.. et les âmes.
C'est la passion perverse des êtres, ces solitaires profanes !
L'ocre dans ses larmes flotte : noires et tièdes.
C'est le temps des amours : regrets sans remède.
La terre chaude est une glace,
Un miroir qui déforme est un juste réel,
Car il est des choses que le revers révèle :
Un génie oppose le bien et le mal : quelle audace !
L'ocre de noir se vêt, à son chevet,
Je vois une madone gracieuse qui fredonne
Des mots, en flot, qui trahissent le silence son aimé.
Immobile, son reflet lui renvoie des échos, elle frissonne.
« Qui a connu l'amour n'a pas connu le temps »
« Le temps, ça vient mais s'en va ! »
Drôle contraste, macabres tons,
Quand à la joie succède le désarroi.
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
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Commentaires
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Posté le 20/07/2012 à 14:46:19
J'ai cherché, en vain, la Marrakech que j'aime. | |
platon |
Posté le 20/07/2012 à 18:34:30
Marrakech existe comme ville, mais n'existe peut-être que dans les écrits tel que vous la concevez, ne cherchons pas ! créons ! | |
Levers |
Posté le 20/07/2012 à 20:18:22
Je ne conçois pas la ville, je la sais ! ce titre à mon sens est inapproprié comme une publicité mensongère ! | |
platon |
Posté le 20/07/2012 à 22:41:47
Publicite mensongère ? le poème fait l'éloge d'un sentiment, d'un état d'âme. Une rêverie née à Marrakech, cette ville, dans la poésie tout est approprié puisque ne dépend que d'un ego qui est le mien, avant de concevoir ou savoir un élément du poème encore faut-il d'abord comprendre la poésie, respect. |
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Levers |