Où es tu ma tendre, ma douce ?
j'aurais tant besoin de toi et de ta jolie frimousse,
que tu viennes me tirer de mes sépulcraux émois,
j'ai besoin d'air ma vielle amie, je garde la foi…
Ô liberté chérie, je te sens contre moi mais n'ose pas t'attraper…
Comment peux tu te laisser enfermer derrière des établissements,
où des mômes n'osent même plus prononcer ton nom,
dans un système qui nous fait aduler l'argent,
et où tes fils confinés dans des latomies mentales finissent dans des maisons de correction…
Ô liberté chérie, viens donc reprendre tes droits dans nos esprits séditieux !
Oh ma pauvre polissonne, ta présence est abstraite
car ce n'est que dans ma tête que j'ai appris à te connaître,
mais je continue à te rêver et à espérer te connaître enfin ma clandestine amante…
Là ou tu es rejetée, moi, je deviens fou de ces vices qui te rendent toujours plus séduisante
Ô liberté chérie, je suis un pauvre fou…
Écrit par LestatLeVampire
Paix, Amour, Compassion.
Catégorie : Triste
Publié le 19/03/2007
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très joliment écrit cette liberté, bravo! | |
MAZBRI |
quel talent !!! Vive la liberté !!! | |
K r Y s T o F |
Quel poème magnifique | |
pichounne |
magnifique poème, bel écrit. | |
plustout |
Splendide, j'espère la connaître réelement un jour... | |
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