Elle avait le vague aux yeux,
Comme on s'sent seule dans la mer,
Parmi d'autres vagues contentieux,
Parmi d'autres, et bien trop même,
Pas le mêm'regard que d'habitude,
Des souvenirs v'nant du passé,
Et puis ces yeux, qui d'amertume,
Etaient d'souv'nirs superposés,
J'étais pas là, en ce jour,
Et comme toujours je réfléchis,
Que dire, que faire, à mon amour,
Lui dire Je t'aime, et la faire rire ?
Mais j'savais qu'c'était pas ça,
Et comme toujours je réfléchis,
Que dire que faire, pour mon Âme,
Qui sur l'coup s'mit à rougir,
De n'être pas là ce soir.
Alors j'farde l'sourire aux lèvres,
Lui fait perdre la mémoire
Dans mes trop basiques histoires,
De cette vie qui est la même
Qu'hier soir,
Le temps nous juge, le temps nous hait,
Mais qu'importe il est passé,
Le marchand de mauvais rêves,
J't'aime d'amour, pour c'que tu es.
Alors prends ton sourire, accroche-le,
Sur cette frimousse qui m'fit craquer,
Et remplis à nouveau d'ce feu,
Sans s'souvenir de pots cassés,
Dans d'autres mains,
Dans d'autres jeux
Je t'aime.
Écrit par Le Veilleur
Les mots n'ont de signification, que celui qu'on leur donne.
Catégorie : Amitié
Publié le 02/09/2010
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merci pour cette chanson qui , à partir de: le temps nous juge,, jusqu"aux deniers mots nous fait battre le coeur,,, émotion , voix de la sincerité; écriture si personnelle qui "touche" si profond,,, |
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flipote |
Très bel écrit. Merci cordialement CRIS | |
CRIS |