Je n'ai pas choisi mon périphérique de sortie
C'est la fin d'un périple féerique qui péri petit à petit
De précis riches récits scintillent à la pointe de ma mauvaise mine
Calligraphie d'automne
J'suis caustique à souhait
Laisse moi souffler mes bougies avant qu'elles ne tombent
Les doigts plombés entre les boutons de mon téléphone
Raconte moi une histoire que je pourrais croire
Raconte moi une histoire où l'on pourrait croître
L'idéalité se change dans sa cabine d'essayage
Vêtu de réalité, le change m'est remit de façon intégrale
En partie glaciale, par parcimonie mes idées me rendent sage d'esprit
Rire de tristesse
J'émet des faits, des sentiments défaits en texte
L'effet issue de mes vices et défaites hisse la fête de ma verve
Le verbe finement aiguisé, mon sens de la poésie transperce
Transparent, j'aurais aimé l'être
La perception est clé
Père, c'est l'son bâclé
Perdu sous une paire de deux
Des dieux, une vertu s'écrièrent les cieux
Les yeux bleu, l'air me manque
Les heureux errent aveugle, fièrement
J'réfléchie trop avant de réfléchir
Ma seule porte de sortie est une porte d'entrée
Sans ligne guidée, je dors éveillé la tête fléchie
Sur la poignée c'est l'image de ma main qui réfléchie
À rideaux tirés, rient les mots tirés au hasard
Rare est ce qui n'est pas une pièce de théâtre
Je met la table pour plus tard
Je sert des pages pour ceux qui savent
Interprété
À rideaux tirés
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Je reviendrai lire car je m'interroge ... A plus tard :) |
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MARIE L. |
j'ai relu a haute voix et le même sentiment ... j'adore bonne continuation :) |
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MARIE L. |