L'homme naquit de l'homme, et en fit son histoire,
Dans sa grande fierté, il ne doit pas mourir,
Il est Maître du Monde, contrôle toutes les armes,
Mais n'contrôle pas son cœur, moqueur, c'est ça l'pire,
Dans son égo centré, sur sa grande stature,
Il s'applique à briser,
Les chaines de montagnes,
A les apprivoiser, à coups de moisissures,
Il se pourrit l'espèce, car l'Homme est son malade,
Dans sa grande bouche, des mots paraissent beaux,
On y pique des fleurs, on vient les déposer,
Mais on les fait mourir, à coup de bacs d'eau,
Ça ne fait rien, c'est vrai, c'est pas fait pour durer,
Dans sa grande fierté, dans son grand vague à l'âme,
De pouvoir tout faire, plutôt se concentrer,
Il Inventa les Dieux, et puis surtout les Diables,
Qui font faire aux hommes, les fautes inavouées,
Il donna à son cœur, le bris de ses entrailles,
Celui d'être le simple, celui d'être le Soi,
Mais sachant n'être personne, il côtoie son semblable,
Il ouvre sa grande gueule, en s'mordillant d'effroi,
Car au jour de la Mort, les souv'nirs sont macabres,
On en vient à en dire, il était bon cet homme,
Il avait une maison, et puis une belle femme,
Cherchons moins à avoir, et à rev'nir vers l'Homme.
Écrit par L'Autochrone
L'humain est une équation dont il est son propre inconnu.
Catégorie : Amitié
Publié le 02/12/2009
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VÉRITÉS BONNES À DIRE ,,,ET À ENTENDRE,,,,Pas mal du tout! amitiés! | |
flipote |
oui,et quelles vérités!!bizz | |
zelma |