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J'en parle à mes amis, j'en parle aux inconnus,
Je parle d'elle encor, quand les autres m'oublient.
Je parle de son corps, de ses courbes, sa face,
J'en parle et je m'efface -hein ? Moi ? J'en parle plus.
Patience, me dit-elle; eh, à qui faire croire
Une telle folie ? Demander à Néron
D'attendre inspiration ? Demander à la nuit
De ne venir le soir ? Ou m'oublier mortel !
Que les gens ne croient pas que, en bon romantique,
J'exagère l'amour et en fait mon prénom !
Figurez-vous que, moi, avant cette supplique,
J'ignorais le parcours menant à la passion.
De découvrir alors que de tels sentiments
Pouvaient atteindre encore, après autant de temps,
Qui, de l'ataraxie, souffrait sans le vouloir,
Dit pourquoi je souris d'enfin les entrevoir !
Écrit par John Craft
Il est dit qu'être heureux relève du Destin,
Lors que ce sont nos vœux qui dirigent nos soins ! Catégorie : Amour
Publié le 27/05/2008
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Commentaires
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Posté le 27/05/2008 à 22:30:00
Trés bel écrit! | |
lo |
Posté le 28/05/2008 à 11:48:05
Très beau poème... | |
pichounne |
Posté le 28/05/2008 à 16:29:48
Merci beaucoup ! ^^ | |
John Craft |