À Old Sacramento
Je marche sur des planches
Qui chantent le Far West
Entendent siffler le train
Et les balles perdues
D'un duel au soleil
Sous le porche de la librairie vintage
Je vois dépasser d'une étagère
La tête de Benjamin McCulloch
Avec une étoile de Shérif
Où Presumed Innocent
Et Farewell My Lovely
Cherchent preneur
La ruée vers l'or a quitter les quais
Mais un monstre d'acier noir
Campé sur ses rails
Évoque avec force
L'effervescence de ses années folles
Où la liberté avait un prix
Libérés sous caution
Mes yeux descendent la rivière
Rejoindre la baie de San Francisco
Écrit par James Px
« Une poésie n'est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. » Textes sous Copyright numéro 00048772-1 - jamesetmots.blogspot.com
Catégorie : Divers
Publié le 05/09/2017
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Commentaires
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Posté le 05/09/2017 à 09:55:39
J'ai apprécié. Merci | |
Verdon |
Posté le 05/09/2017 à 12:30:15
J'aime la manière dont ce poème nous transporte dans une autre atmosphère. J'appréciais déjà "en terre navajo". |
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Zigzag |
Posté le 06/09/2017 à 14:05:24
mais quand sortiras-tu de ces contrées lointaines ? où tu fuis l'air de rien ta réalité intime. |
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marinette |
Posté le 06/09/2017 à 16:33:59
Verdon... Les gorges du Verdon... C'est cool ausi ! | |
James Px |
Posté le 06/09/2017 à 16:38:15
Zig-Zag... Imprimer une impression sans trahir l'expression qui nous caractérise | |
James Px |
Posté le 06/09/2017 à 16:41:18
marinette... je ne fuis pas puisque je suis de retour | |
James Px |
Commentaires
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