J'étais là seul avec mon chagrin,
Oh ! certainement, j'avais fauté,
Mais ma peine ne l'avais-je pas purgée,
Fallait-il encore rester à l'écart, jeté,
En verrai-je enfin la fin ?

Mon cœur est meurtri, j'ai demandé pardon,
Sur mon œuvre je me suis appliqué,
Afin d'apaiser mon tourment et qui sait,
Faire naître à mes aimés un peu d'humanité,
Malgré tout sans succès, mais bon !

Mon petit cœur souffre,
Mes larmes inondent mes yeux
Mon esprit implore,
Que votre amour je le partage.

Mais au réveil, j'ai fait un rêve.