Ah, Audrey... Ton nom claque comme un baiser volé,
Un murmure de soie sur mes lèvres brûlées.
Audrey, ô mon refrain secret, ma douce mélodie,
Qui hante mes nuits blanches et mes mornes midis.
Tes yeux, deux étoiles perdues dans la brume du soir,
Où se noient mes pensées, mon chagrin, mon espoir.
Audrey, leur éclat trouble mon âme vagabonde,
Et dans leur profondeur, mon cœur chavire et s'effondre.
Ta voix, un ruisseau clair qui dévale en chantant,
Chaque mot une perle, un joyau argentin.
Audrey, elle caresse mon oreille lassée,
Et ranime en mon sein une flamme oubliée.
Tes mains, deux oiseaux blancs qui se posent sur moi,
Un frisson électrique qui court sous ma peau.
Audrey, leur contact léger me consume et m'enivre,
Et dans leur étreinte, mon corps tout entier vibre.
Ton rire, une cascade de cristal tintant,
Qui emporte mes soucis au loin, dans le vent.
Audrey, il résonne clair, pur et cristallin,
Et illumine l'ombre de mon âme chagrin.
Ton absence, un silence pesant et moite,
Un vide immense où mon cœur se débat, angoissé.
Audrey, ton manque cruel me déchire et m'oppresse,
Et chaque heure sans toi est une éternité blessée.
Mais ton retour, Audrey, est un soleil ardent,
Qui chasse les ténèbres et les tourments.
Audrey, ta présence est ma joie, mon seul bien,
Et dans tes bras, je retrouve enfin mon chemin.
Alors, Audrey, laisse-moi te dire encore une fois,
Ce nom qui sur mes lèvres a le goût du bois
Sec et brûlant d'un feu qui jamais ne s'éteint,
Audrey, mon obsession, mon amour, mon destin.