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J'ai eu tant de mal à ne pas fermer la porte
Devant des inconnus attendus de toutes sortes
Il y a eu un élu qui a sonné et tout étonné
S'est vu offrir l'hospitalité de pouvoir entrer
Illuminé d'une chaleur douce et odorante
J'ai pressé mon invité d'explorer sans rentes
Il a sans doute déniché mes coins adorés
Ainsi que mes fautes furtivement décorées
Confiance, confiance, Aie confiance
J'entends encore la voix d'assurance
Barrières, alarmes, champs protecteurs
Tout disparaissaient
A mesure que défilaient les heures
Il m'envahissait
Un bien-être si particulier de se sentir aimer
Sans aucune pudeur ni arrières pensées
On se donne sans compter, inconscients de l'offense
On ne se figure pas des dangers de cette science
Comme elle, il m'a volé puis s'en est allé
Il a pris mes plus beaux tableaux et m'a laissé
Moi et mon incommensurable vérité
Je désirais juste le droit à m'installer !
Confiance, confiance, Aie confiance
J'entends encore la voix d'assurance
Innocence, innocence, que de l'innocence
Me murmure son acouphène, son insolence.
Écrit par I-ko
"Sacrifier le présent, parce qu'on mise tous sur le futur"
Catégorie : Triste
Publié le 12/05/2008
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Merci à toi ! Entre-temps, j'ai réussi à récupérer ce que l'on m'avait volé :). |
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I-ko |
Quel choix pour un voleur !!!Poème sublime !!! j'aime beaucoup ! | |
Ange de Lumière |
Mercii beaucoup à toi aussi, Ange de Lumière ! | |
I-ko |