Lentes saccades des persistantes pensées
Demeurant moitié tiennes moitié siennes
Floutez mes yeux écarquillés alors larmoyants,
Vérifiant ainsi le désespoir d'une enfant
Eprise du merveilleux, de l' inaccessible.
Mais serait-il heureusement possible,
D'avec douceur sur cette Etoile déposer
Un regard puis un sourire,
Une parole puis un Baiser?
Un espoir; puis un chagrin
Tant redouté.
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Commentaires
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Posté le 10/08/2011 à 18:18:21
Très beau Hellize, j'aime beaucoup :) | |
Hainedesoie |