J'en ai plus pour très longtemps aujourd'hui
Mon coeur me le dit, ma mémoire a des oublis
Mon souffle commence à perdre de sa vie
Je le comprends il veut pousser son dernier cri
C'est à ce moment là que l'on s'interroge
Sur nos erreurs, lorsque l'on s'est fait trop d'éloges
On se demande si on a donner beaucoup de fleurs
Comment on sera jugé par l'être supérieur
Doit-on effacer des souvenirs à la gomme
Doit-on le respect à tous les hommes
Doit-on ouvrir notre coeur des verrous
Tourner à double tour et l'ouvrir pour vous
A t'on le droit de revenir en arrière
Changer son destin de n'importe quelle manière
Pour enfin trouver la lumière
Et éviter ces moments de colère
J'aime entendre le son de ce petit ruisseau
Il redonne espoir quand on a la tête sous l'eau
Je veux vous dire tous ces mots
Avant de partir dégainer mon dernier assaut
Il y a des hauts et des bas
Tu es parti, j'étais mal au plus profond de moi
Ce rêve qui était depuis toujours le Tennessee
M'a rendu fou à en perdre mes amis
J'ai toujours avec moi nos braves enfants
Ma raison de vivre est d'autant plus important
Car tu m'as demandé de veiller sur eux
Toi qui es à présent au dessus des cieux
Je vais bientôt prendre la même route
Ecoute, mon corps me l'a dit, je n'ai plus de doute
Il faut attendre que le seigneur m'ajoute
Je m'excuse à tous les gens que j'ai attristés
Je confesse aujourd'hui mes péchés
Pour qu'au ciel, je n'ai rien à me reprocher
Pour qu'au ciel, je sois pardonné
Pour qu'enfin au ciel, être à tes côtés
Écrit par Frozen Heart
Le monde est fait d'aveugles, sourds et muets
Entre ceux qui ne veulent pas voir le monde sordide d'aujourd'hui Ceux qui ne veulent pas entendre ce désaroi Et ceux qui ne veulent rien dire pour faire changer les choses Catégorie : Triste
Publié le 08/02/2011
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Aucune excuse à formuler. C'est moi qui m'excuse au nom de tous ceux qui t'ont fait du mal, au nom de ce destin pourri qui va nous priver d'un artiste comme toi, au nom de je ne sais quoi, peut-être simplement de cette tristesse que j'ai en pensant à toi, à tes textes, quand je voudrais te faire sourire et, qui sait, te donner une occasion de rire. Quoiqu'il en soit, dis-toi que même si je devais vivre mille ans, je n'oublierais jamais ta poésie. Elle vivra aussi longtemps que moi, et a travers elle, a travers moi, triste inconnu que tu ne connaitras jamais, et à travers, quelle évidence, tous ceux qui t'aime au quotidien, et je suis sur qu'ils sont nombreux, toi, tu seras immortel |
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