Oui, je pleure. Fantôme égaré
Sous l'ineffable volupté ;
La Poésie, amie fidèle :
Elle m'abandonne ! et se rebelle.
…Et j'entends un nuage qui pleure :
Danser une valse cœur à cœur…
C'est un méandre bleu qui mousse
Et agite mon cœur par secousses.
Pensée ! qui fuit un caveau noir,
-Une élucubration barbare !
Folie de vins et de cigares
Création, es-tu feu, ou tare ?
Éternel pourchas sans secours
Où sont, où sont les heureux jours ?
Les feuilles s'amassant sur mes vers
Témoignent d'un douloureux enfer.
Écrit par Etienne de Mirage
Le coeur est une langue qui se passe de mots.
Catégorie : Poésie
Publié le 11/04/2021
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Commentaires
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Posté le 12/04/2021 à 09:05:58
Une musicalité forte, c'est le gros point fort de ce texte Bravo |
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Edelphe |
Posté le 12/04/2021 à 18:38:43
Bonsoir, Et la Coquine a su vous offrir un Immense Souffle .. cela nous permet de déguster ce Beau Texte ! Mais Elle aime jouer, elle est, s'échappe et reviens avec Force .. Bravo ! Merci du Partage .. ( vous ajoutiez une Strophe commençant par I , et vous aviez en Désordre POESIE en Acrostiche ) LyS .. |
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Lys-Clea |