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Lorsqu'on prend un livre, que l'on veut feuilleter
Il faut craindre et aimer un devoir sans appel
Un gage de sûreté admis mais bien réel
Où le contrat est tel : le lire tout entier
Puis quand il est ouvert, qu'on espère l'aimer
Il faudra respecter la volonté formelle
Engagement sacré souvent perpétuel :
Sitôt la mise en selle* il faudra s'y plonger
Une intense lumière assombrit nos visages
Le vent se lève sage et chasse les soucis
Les émotion volages, les sentiments trahis
Et l'essence de vie contenue dans ces pages
Le roman est fini, c'est la fin de l'histoire
La vie est faite ainsi, il a vécu sa gloire
*Aprés avoir commencer la lecture
Écrit par Erwin
Comme un long crépuscule qui ne s'éteint jamais.
http://www.youtube.com/watch?v=g90m6aJw1dA&feature=related Bel instant de poésie musicale... Catégorie : Divers
Publié le 09/07/2008
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Commentaires
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Posté le 10/07/2008 à 18:21:08
très joli | |
louann |
Posté le 26/08/2008 à 15:43:55
Quel dommage que cette fin "baclée" ! Tu as vraiment des idées formidables pour les concepts, tu me sembles avoir par contre quelques soucis pour terminer tes écrits, je me trompe ? En tout cas, je trouve qu'il manque une vraie chûte dans ce que j'ai lu pour l'instant, là j'ai été franchement déçu en lisant la fin, alors qu'un vers comme "le vent se lève sage et lève les soucis" sort totalement de l'ordinaire, et surtout peut amener à des suites bien plus intéressantes que celle que tu as écrit ici Disons qu'au milieu de tes images poétiques, tu as une fâcheuse tendance à placer des phrases simples sur deux vers, avec une rime au milieu, plutôt que de garder un rythme poétique et saccadé |
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Cubain |
Posté le 27/08/2008 à 09:35:06
J'ai eu beaucoup de mal à écrire ce poème... l'inspiration était en vacances c'est pourquoi les deux premiers quatrains sont bancales. Je ne les aime pas trop. Cependant, le premier tercet redonne un peu de poésie au sonnet. J'y fait référence aux émotions que les livres partagent avec nous lorsque nous sommes entrainés dans l'histoire, quand nous vivons l'histoire, ressentons la caresse du vent etc... Quelques personnes n'ont pas bien compris le vers 9 "Une intense lumière assombrit nos visage". Je fais allusion encore une fois aux sentiments qui nous sont communiqués à travers les pages et plus exactement au sentiment qui nous prend lorsqu'on a fini de lire. L'intense lumière représente la fin en parallélisme avec la mort et son "bout du tunnel" puis le vent se lève (élément physique) et fait tourner les pages et du même coup provoque ce que je cite pour finalement chasser l'essence de vie que les pages portent. Ce vers aurait pu harmonieusement servir comme dernier vers, cependant, il m'en restait deux. J'ai donc essayé de faire une sorte de conclusion poétique que j'ai pas trop mal réussie... Voilà^^ J'aimerais savoir quels vers t'inspirent ton commentaire final (les 3 dernières lignes). Merci! |
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Erwin |
Posté le 27/08/2008 à 12:47:35
Ce n'était pas trop présent sur celui-ci ( en tout cas pas assez frappant ) mais quasiment sur chacun de tes poèmes, il y a une phrase simple décomposée sur deux vers, un truc que tu veux absolument exprimer dans ton poème mais que tu ne prends pas la peine de dissimuler, et qui ressort dans une phrase simple type devoir 6ème.. | |
Cubain |
Posté le 27/08/2008 à 13:19:02
Tu pourrais développer ? Me donner des exemples ? |
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Erwin |