Ouvrez bien vos oreilles,
Il n'y a là rien de virtuel,
Mais de cette triste histoire,
Vous n'allez rien y croire !
Par le plus grand des hasard,
En revenant du "Q-zar"
Un de mes bons amis,
M'attira jusqu'à son logis.
L'accueil de cette demeure,
Était plus chaleureux que celui de sa sœur;
Effectivement, en guise de salutations,
Elle lança des injures, c'était là sa distraction !
En réponse aux bassesses,
De cette jeune tigresse,
J'ôtai mon statut de gentleman,
Pour devenir pire qu'un pyromane.
Une fois celle-ci domptée,
Elle fût moins agitée,
Mais avant qu'elle ne s'incline,
Un frisson parcourut mon échine...
Des semaines plus tard,
Je sentais toujours son dard,
Le poison de cette petite peste,
M'avait fait oublier tout le reste.
Dès cet instant j'avais changé,
Elle avait du m'hypnotiser.
Sans toutefois y penser, j'offris
à son frère quelques-uns de mes croquis;
Le regard de cette fille était grand,
Elle vue mes esquisses et admira mon talent.
Lors d'une journée ensoleillée,
On m'invita au mariage de son aînée,
Et lorsque j'arrivai en début de soirée,
Je fus accueilli par elle sous une pluie étoilée.
Elle étincelait tel un page,
On aurait pu jurer un mirage,
D'adorables jeunes filles l'accompagnaient,
Et des propos mesquins m'effleuraient.
C'est pour cela que nous emmerdâmes
Quelque peu ces jolies dames,
Elles en firent autant,
Comme nous étions content !
On finit par danser ensemble,
ça m'était devenu indispensable.
Et c'est dans cette sérénité,
Que tout a empiré.
J'ai été envoûté,
Ou plutôt condamné,
à posséder ce magnétisme,
M'attirant à son charisme.
Je suis devenu invisible,
Face à cet amour impossible,
Mais dans cette vie cruelle,
Je ferais tout pour elle !
(17 ans)
Écrit par Elie Caretaker
- Ne fais pas à autrui ce que tu ne veux pas qu'il te fasse- Devenez mes amis sur Face Book ;)
Catégorie : Amour
Publié le 17/12/2012
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Elie Caretaker au hasard |
Annonces Google |
se lit si bien... | |
MARIE L. |