Lors d'une ballade, j'ai creusé les rides de la terre
J'ai puisé l'eau des sources,
D'où jaillissent nains et farfadets,
Nymphes, naïades de jadis,
Lorsque j'ai emprunté un sentier des poussières de vent,
Ange de mon désir,
Les pieds nus sur la lune,
La tête dans le brouillard de la terre.
L'or de l'eau, se frayait sur les mirages antiques,
Hors de l'eau, le soleil éclaboussait d'étoiles de sons.
Rivières de mes pensées agitées,
Rivière de douceur sur linceul triste,
Alors que la foule rigole d'une voix presque tremblante
D'émotions sauvages.
Par les sentiers les hommes flânent.
Écrit par Eleonore1973
eleonore
Catégorie : Divers
Publié le 31/08/2013
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Commentaires
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Posté le 31/08/2013 à 18:52:01
Etrange, mais intéressant ! | |
marco |
Posté le 31/08/2013 à 19:53:46
Magnifique ! J'aime vraiment beaucoup ! C'est très évocateur, souligné d'une pointe de magie, et alors les trois derniers vers sont géniaux, renversants ! Bravo ! | |
Marouette |