Bien sûr, je ne peux oublier la mémoire de vos corps,
Qui dansent en une ronde; digne des plus grands peintres.
Or combien je fus surprise de noyer mon amitié sur vos corps.
De boire l'eau de vos mots, de ces gouffres non pas artificiels.
De ces ciels qui traversent nos espoirs, limpides, espoirs de vie.
Et si lorsque je dors je plane éveillée sur mon moi,
Si j'éveille vos soupçons, sur ma nature d'être au monde.
Alors oubliez moi, l'indifférence ne me tuera pas.
Si elle est respectée par un petit nombre, évidemment.
Sur tes épaules mon ange, gris bleu,
Mes pupilles se larmoient sans toi, mais sur tes épaules,
Je jette l'ancre, de mes émotions aussi disparates qu'étranges.
Écrit par Eleonore1973
eleonore
Catégorie : Amitié
Publié le 01/09/2013
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