Dans le noir complet, j'avançais dans la nuit.
Lorsque ce grand labyrinthe devant moi s'est dressé,
J'ai franchi sans hésitation la porte d'entrée.
L'horloge sonnait minuit.
Le ciel s'assombrissait, bien plus qu'à l'ordinaire.
Le temps passait et l'air devenait irrespirable,
Tout s'alourdissait, puis l'orage venait, "instoppable".
Ses mots m'écorchaient tels des morceaux de verre.
Dans le noir complet, je cherchais la sortie
De ce labyrinthe où je m'étais égarée.
J'avançais sans trouver,
Je cherchais dans les livres une vie.
Parfaite, il s'agirait d'un monde
Où je pourrais œuvrer sans difficulté,
Un endroit où prospérité est réalité,
Mais pour l'instant c'est l'obscurité que je sonde.
Écrit par Eileen
"Se laisser glisser dans le ciel vers les astres et s'évader."
Catégorie : Divers
Publié le 04/04/2011
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Commentaires
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Posté le 04/04/2011 à 20:16:07
oh ! ça fait penser au film "Le Labyrinthe de Pan" !! Avec l'angoisse du temps qui passe et le désespoir en plus. Mh...toujours en quète d'idéal. |
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Orpheus |
Posté le 04/04/2011 à 20:41:51
très noirs j'aime beaucoup! |
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eternal |
Posté le 05/04/2011 à 03:06:43
joli poème , bien dit "c'est l'obscurité que je sonde" | |
angelique |
Posté le 05/04/2011 à 19:05:38
j'aime beaucoup le dernier vers | |
Rydia |