La vieille dame aux arbres cerisiers
Elle a toujours une douleur
Dans les yeux plissés
De celles qui sont tacites
La route jusqu'à la forêt d'hiver
Elle est majestueuse à nu ainsi
Et aucun sentier n'est abîmé
Des milliards de pas
Les nuages grisés qui se mélangent
Aux aurores raréfiées de janvier
Les palais d'or tout là-haut
Nous ouvrent leurs portes
La tourterelle chante à ma fenêtre
Elle aime ma musique jouée peut-être
La fraîcheur dans l'air comme
Un printemps en train de naître
Tout ce qui ne se quantifie pas
Tout ce qui s'offre au monde entier
Zone de confort dans laquelle
Je me positionne en foetus
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Écrit par Eau-celia
"Fais ton best of du mieux que tout" Paradis
Catégorie : Poésie
Publié le 29/01/2025
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