Les plages sont désertées et rougies
Par les feux des phares rassurants
Le cœur respire l'iode de la marée
Qui s'en va et vient si calmement
Tout me plaît dans ce paysage de nuit
Tout dévore le regard d'une amère beauté
Et Vénus a les jambes trempées, alanguie
Dans les vaguelettes sur sa peau échouées
Attend-t-elle son Adonis pour adorer
Le reflet de naïade qu'il lui révélerait ?
Ou comprend-t-elle le poumon des abysses
La musique de l'eau qui avoisine le délice ?
Tout me plaît dans ce paysage de nuit
Tout dévore le regard d'une amère beauté
Et Vénus semble une femme ou jeune fille
À la flamme aura, dans une coquille enfermée
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Arts à découvrir... | Poèmes de Eau-celia au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 01/06/2024 à 10:44:23
![]() |
Bonjour Ocelia Merci pour ce très joli partage Amitiés Capucine |
Capucine ![]() |
Posté le 02/06/2024 à 18:32:10
![]() |
Bsr Eau-Célia, J'aimerais ces Vers en Peinture .. Ce serait magique Toile .. BRAVO !!!!!!!! A:) LyS .. |
Lys-Clea ![]() |