Celui que j'aime
A les mots légers
Un blues de bohème
Un air jazz suranné
Il porte un costume
Et attend la mort
Avec ses anges à plumes
Comme une fête alors
C'est mon homme de poche
Plein de tics et de tocs
Il a contre lui une valoche
De trésors et de broques
Et quand il presse ma main
Je pressens une météo agile
Le ciel d'or et d'airain
Que seules savent les îles
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Commentaires
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Posté le 04/01/2025 à 05:16:35
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Bonjour Eau-celia, Je ne suis pas certain d'avoir compris le concept, mais je prends votre poème et je me fais petit. Très bon week-end à vous. |
Bruno G  |
Posté le 04/01/2025 à 08:39:26
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Bonjour Bruno, vous venez de comprendre que la poésie n'est préhensible qu'en partie. Le nuage qui reste, un peu flou, et est le noyau sensible du poème. Merci |
Eau-celia  |
Posté le 04/01/2025 à 18:22:05
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Bonsoir. Je n'ai pas vraiment tout compris qu'importe j'ai trouvé ce poème joli. Douce nuit |
roserose  |
Posté le 05/01/2025 à 11:33:52
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Merci merci Rose ! |
| Eau-celia |