Célébrons, à jamais, nos victoires brûlantes,
Mon seigneur, mon amour, que ton cœur semble lent !
Toi, tu m'offres toujours des nuits étincelantes,
Mais mon roi, sur ma couche, il me faut de l'or blanc.
Célébrons, à présent, nos vertus chancelantes,
Mon seigneur, mon amour, mon cœur est exigent !
Mon âme, tu la tiens entre tes mains tremblantes,
O mon roi, sur ma couche, il me faut de l'argent.
Célébrons, sans faillir, nos victoires troublantes,
J'ai déjà fait de toi le plus noir des amants,
Aime-moi, souverain des guerres accablantes !
Mon seigneur, mon amour, ce jeu devient lassant !
Toi, tu m'offres toujours de sombres diamants,
Mais mon roi, sur ma couche, il ne faut que du sang.
Écrit par Earwen
"Et si c'était la douleur qui fait chanter les oiseaux ? Rien n'est impur à ceux qui sont purs".
Catégorie : Triste
Publié le 17/04/2010
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Commentaires
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Posté le 17/04/2010 à 20:16:32
Je l'ai encore préféré au précédent. Ils sont tous plus bons les uns que les autres. | |
Malady |