Comme une graine dispersée par le vent
L'histoire apprend de ses voyages
Commence par une plage et ses goélands
Un voilier part vers le grand large
Je suis happée par la tendresse tôt
Mes os, ma peau : mon corps est d'Eau
Et aucune flamme n'en sait l'essence
Sinon un coeur, sous la pluie, qui danse
Les mirages je les collectionne aussi
Les orages suivis d'accalmie me fascinent
Entre le fruit et le noyau, il y a la vie
En mon âme je la suppose fleur d'aubépine
L'enfant de la mer s'éveille devant l'Océan
Une goutte de sagesse suffit au déploiement
Et le sel est une leçon puis m'accompagne
Jusque dans la ville, un désert sans sable
Dès lors, que l'on me parle ou m'examine
Je suis Ailleurs et la Terre me volcanise
Tout en moi désire un air des îles salines
Je suis Eau, et je déborde... à ma guise
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Écrit par Des-l-aube
Des extases en miroir, sur l'eau, en forme de nénuphars.
Catégorie : Poésie
Publié le 03/07/2025
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Bonjour dès l'aube, Au moins l'eau est l'élément le plus féminin qui se renverse où en est l'écrin de ton c?ur à ce qui se bouleverse en ta ferveur. |
Chenapan69 ![]() |
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Merci de ce commentaire flamboyant. Bien à toi Chenapan |
Des-l-aube ![]() |