Tes bras comme un scellé pour oublier le temps
Et nos deux corps unis en un tendre ballet
Reflet de la magie nos deux cœurs reliant
En un chœur de beauté semblant empoisonné.
Mes yeux mettent à nu ton pale corps diaphane
Pour caresser ta peau d'un éclat indocile
Tandis que de l'amour les secrètes arcanes
Dérivent de mes doigts à ta beauté gracile.
Mes baisers se font feu venus pour de ta chair
Consumer la tendresse et apposer un sceau
Forgé dans le désir, frappant tel un éclair.
Laisses-toi donc couler en cette épiphanie
Où se perd la raison et où se noient les mots,
En ce plaisir furieux siégeant dans tes envies.
Une plume de Dehorian
Le 09/05/11
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Commentaires
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Posté le 09/05/2011 à 19:01:15
titre parlant pour un texte brûlant du désir de sceller | |
philomène |
Posté le 10/05/2011 à 07:09:01
Une déclaration exaltée par un désir sans limite . C'est très beau | |
TANGO |
Posté le 12/05/2011 à 11:36:00
Magnifique... J'adore. Amitiés. E. |
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Earwen |