A celui qui lira.
Je ne saurais te dire où s'endorment les maux
Je ne veux te mentir en te laissant l'espoir
D'un avenir purgé de nos moindres défauts
Où nous serons blanchis bien au delà du noir
De notre fol orgueil et de notre douleur
De devoir être au monde et d'avancer sans fin
Vers la mort concluant un présent dans la peur,
A rêver de jouïr de plus sûrs lendemains.
Mais si ton coeur enfin tu oses ouvrir au chant
De l'amour te poussant à comprendre les autres
Alors tu laisseras ce qui est harassant
S'en aller loin de toi et dégager ta route,
Alors tu apprendres à en être l'apôtre
Et à ne pas céder à la folie du doute.
Avril 2015
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Commentaires
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Posté le 25/04/2015 à 09:19:30
une bien belle écriture. | |
pat |
Posté le 25/04/2015 à 14:56:19
C'est joli. | |
TANGO |