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La lueur du soleil se reflette à jamais
Dans les yeux de l'enfant dont la mère est absente.
Il pleure le réveil et sa peine insolente
Qui l'élève du rêve où jadis il dormait.
Ci-gît l'ombre qui vit dans les feuilles d'automne,
Haletantes encor sur les larmes du berceau ;
Les cris de détresse sont la marque du sceau
Des insomnies. Résonne son chant monotone.
Les heures passées au chevet de cette offense
Sont les temps de chagrin dans le coeur de l'enfance.
Et paresse malgré la survie de ses membres.
La nuit se lève tôt dans le froid de novembre,
Et le jour est le luxe des âmes futiles.
Et tristesses et regrets et amours inutiles.
Écrit par Cubain
On lit dans les mots plus qu'on ne voit dans les choses.
Catégorie : Triste
Publié le 25/04/2008
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Commentaires
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Posté le 28/04/2008 à 22:00:22
Magnifique poème. | |
pichounne |
Posté le 28/04/2008 à 22:36:11
Et "magnifique", c'est mieux que très beau ?! :) | |
Cubain |