Lucie, Lucie, c'est moi
Celui qui par un pur hasard
A suivi ton parfum de soie
Pour patienter d'un retard
Lucie, Lucie, qui es-tu ?
Je recherche encore ce visage
Qui a su le temps d'un voyage
Faire douter mon futur prévu
Lucie, Lucie, je pense à toi
Car je perds toujours la foi
Ce qui me nourrit, c'est l'espoir
D'enfin pouvoir t'apercevoir
Écrit par Blugh
Les hommes ne voient pas ce qu'ils ne veulent pas voir.
Catégorie : Amour
Publié le 09/12/2013
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Commentaires
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Posté le 12/12/2013 à 16:44:27
Tout n'est pas perdu, puisque tu gardes l'espoir, j'aime bien ce petit texte, sympathique et touchant. | |
Octavie |
Posté le 17/12/2013 à 18:26:35
J'aime beaucoup celui-ci, par la façon dont le thème est abordé et aussi par sa construction. amitiés poétiques absolème |
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absolème |