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Un corps froid, de ronces étreint
Une vision, haletante qui tangue
Une épine, aux creux des reins
Flots acres sur la langue.
Le temps, depuis toujours, c'est arrêté,
Et dans ma bouche le verre brisé
La sable s'écoule, dont les jours
Sur les dunes s'évadent, tout autour.
Ma main s'enfonce et se perd
Laissant traces d'un passage inconnu
qu'une ombre laissa derrière
Aux confins d'une mémoire perdue
Tourne, tourne aiguille figée
Douce hécatombe aux yeux brulés
D'une heure, au cœur éventré
Fratricide bien trop pleurée...
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 14/09/2008
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Commentaires
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Posté le 14/09/2008 à 11:55:03
beaucoup de talent ,encore merci | |
nicky |