Le souvenir de la douceur comme une porcelaine est fragile,
Et cette vieille rumeur de nos décembres les avrils.
Des larmes au bout des ans, l'idée folle c'est s'adoucir.
Et sur nos peaux d'après-guerre tombe un tonnerre de Brest,
Quand le choeur des vents hurle du nord-quart-nord-est.
Ce souvenir des fables dans le musé silence de nos chambres,
Et cette courte histoire de nos avrils les décembres.
Te murmurer -l'âne et le chien- pour t'endormir.
Il y a encore des nœuds dans nos veines et ces réseaux...
C'est comme pleurer dans son chocolat chaud.
Tout aura été dit. Dans le reflet d'une tasse bleue ciel.
Oui, la tienne, celle-là même qui manque un bout.
Je la recollerai un jour avec du miel.
Et ce sera tout.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Amitié
Publié le 15/05/2020
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