25 Mai 2014,
Toutes les femmes sont si belles.
Qu'elles soient rondes, laides ou noires,
Nous ne cessons de rêver d'elles
Par-dessus nos images noires.
Nous avons tous de caché en nous,
Des autres, notre vie éclatée.
Miroir aux intempéries dissous
De tous les fallacieux maux tatoués.
Nos tristes vies mornes et transmutées,
Font face à nos Amours aux abois.
Parviennent aux lendemains perturbés
Les grands cœurs à la gueule de bois.
Je rêve de Toi !
Je conduis ma vie assassinée
Sur les quais de ce pâle bonheur
A la recherche toute effrénée
De l'espoir nauséeux du menteur.
Sur le chemin de tes illusions
Tu repousses ce si bel espoir
Sur le sentier de ta perdition
Pour lequel tu as cessée d'y croire.
A mon tour, j'écrirai ton prénom
Pour qui, sur mes lèvres muettes
Brûle ce cœur perdu à l'unisson,
Pour te retrouver, Fée clochette...
Je ne peux t'oublier !
Le Mercredi 27 Mai 2014
Basile Béranger Chaleil
Écrit par Basile
"En faisant scintiller notre Lumière,nous offrons aux autres de pouvoir en faire autant."Nelson Rolihlahla Mandela.
Catégorie : Amour
Publié le 28/06/2017
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Le millésime d'un amour dépend plus de son degré, que de son année. 👏🏻 | |
singe vert |
Beaux poèmes Basile. Une préférence pour le deuxième écrit, merci pour cette fin féerique. | |
suane |
Merci Singe vert...Je te rejoint totalement. Suane, effectivement lorsqu'on lit ce poème, il semble être en deux parties. Le contenu je l'ai voulu dans la continuité de la de scription de mon ressenti concernant un fait précis. Et la première partie est générale, la seconde est plus personnelle, mais les deux vont ensemble... Merci pour ton avis. Basile |
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Basile |