Le chemin perdant ou le 432,
La vie n'est autre qu'un immense chemin
Celui rempli d'embuches dont le destin
Si souvent désigné, ni sera pour rien.
La rêverie, souvent peut couter la vie
Si nous ne prêtons garde, de là, de ci
A nous laisser ainsi porter par des si.
Il faut laisser l'image de la brise
Se fermer aux tendres cœurs et sans prise
Pour éviter l'écueil d'un jour de crise.
Il aurait fallu prendre une décision
Ce jour-là à cette première impression
Pour éviter la triple déception.
La reconnaissance pleine et sans raison
Du réciproque et authentique pardon
N'a jamais eu de véritables raisons.
L'erreur à nouveau m'incombe et m'habite
D'avoir laissé l'ennui courir si vite
Pour un beau regard asymétrique.
Fuyant, j'ai parcouru avec ce beau cœur
Quatorze semaines d'intenses douleurs
Pour maintenant ne jamais plus vivre ailleurs.
Basile Béranger Chaleil
Le 15 décembre 2013
Écrit par Basile
"En faisant scintiller notre Lumière,nous offrons aux autres de pouvoir en faire autant."Nelson Rolihlahla Mandela.
Catégorie : Amitié
Publié le 10/12/2016
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Basile au hasard |
Annonces Google |
Vie, rêverie, sont des tentatives d'échapper au destin qui nous crible ; nous n'en finissons jamais avec elles si ce n'est par quelques souffrances... | |
jacou |