Les Abîmes perdants,
L'éternité perdue
Dans ce grain de sable
Me donne le vertige.
De la vie qui se mue,
A ce doux visage,
Je recherche l'invisible.
Au grès du vent salé,
La fleur du rivage
S'accrochera aux dunes.
Sondant la destinée,
Fixé aux nuages,
Je relance les runes.
Sa Liberté passée
Tressaille dans la nuit
A la recherche du vent.
Et mes envies rêvées
Parcourent mon ennui
Aux tristes abîmes perdants.
Le 22 février 2016
Basile Béranger Chaleil
Écrit par Basile
"En faisant scintiller notre Lumière,nous offrons aux autres de pouvoir en faire autant."Nelson Rolihlahla Mandela.
Catégorie : Amitié
Publié le 13/04/2016
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Commentaires
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Posté le 14/04/2016 à 00:59:24
Merci pour ce poème d'une légèreté mélancolique. La 1ère strophe me fait penser à T.S. Eliot, et introduit un vertige digne de Pascal. | |
jacou |
Posté le 14/04/2016 à 10:06:36
Mélancolie quand tu nous tiens...tu rends la prose plus belle... Bonne journée poète. | |
Axelle14 |
Posté le 17/04/2016 à 20:02:55
Merci Jacou pour cette comparaison très honorante.... Merci à Axelle également... BBC |
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Basile |