Alors que le ciel, de feu, se part
Alors que la nuit s'étend
Alors que mon esprit largue les amarres,
Alors que s'aiment les amants,
A ce crépuscule du jour comme de la vie,
Quand cesse de se morfondre les rêveurs,
Quand les oiseaux regagnent leurs nids,
A ce crépuscule, il faudra ouvrir son cœur.
Savoir que le sommeil s'enfuira,
Mais le poursuivre quand même.
Quémander les songes qu'il nous refusera,
Et prier pour la personne que l'on aime.
Évoquer les chaudes nuits d'été,
Regretter le coin du feu de l'hiver.
Puis enfin, le voir s'installer.
Au loin, je devine la mer.
Je rappelle à moi
Tous ces rires et ces sourires,
Qui jamais ne me noie,
Gouvernail du navire.
A moi, oui ! La nostalgie des souvenirs.
Avec l'aube se levant,
Et sans médire !
Le plus beau village d'antan.
Écrit par Aziel
" On ne pardonne pas à son ami ses erreurs, on ne les excuse pas non plus. On les comprend. " Philippe Soupault.
Catégorie : Divers
Publié le 19/05/2013
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J'aime ta manière de tourner les vers ^^ Ton poème me touche, plus particulièrement la première strophe. | |
Malyka |