Je m'égare dans ce monde enfumé,
Tout est vide, tout est mort. Douleur d'aimer !
Dans l'océan limpide de ses iris,
Plonger, me noyer, par sa tendre malice
Envoûtée. Puis par les ondes emportée,
Et sur le doux sable ambré, rejettée.
Lentement, l'air m'emplit du parfum triste
De ce sublime rivage améthyste.
Et l'aurore divine nimbe la combe
De rayons d'or effleurant ma colombe.
Ici se finit mon cauchemar,
Dans l'utopie qui détruit notre écart.
Le ciel s'éveille dans le calme des roses,
Inondé d'amour. Pour toi, enfin, j'ose!
Le zéphyr de ton souffle sur mon cou,
C'est ta main qui s'est posée sur ma joue.
Écrit par Aziel
" On ne pardonne pas à son ami ses erreurs, on ne les excuse pas non plus. On les comprend. " Philippe Soupault.
Catégorie : Amour
Publié le 16/05/2013
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Commentaires
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Posté le 16/05/2013 à 19:27:18
une aurore d'une poésie si délicate c'est ce genre de texte qui m'émeut ! bonne soirée. | |
amnous |
Posté le 16/05/2013 à 19:59:39
Tu t'es inscrite :3 ... ( et je te le redis : ci trop beau <3 ) | |
CowKiri |
Posté le 16/05/2013 à 20:08:28
Merci beaucoup :D Coline : Ouais.. x) Merci 8D |
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Aziel |